L’OMS a actualisé ses lignes directrices sur les traitements contre la COVID-19, qui présentent des recommandations révisées pour les patients atteints d’une forme bénigne de la maladie. Il s’agit de la treizième mise à jour de ce document.

Malgré les avancées réalisées pour élargir l’accès aux moustiquaires imprégnées d’insecticide et aux médicaments destinés à prévenir le paludisme chez les jeunes enfants et les femmes enceintes, de plus en plus de personnes tombent malades du paludisme, selon un nouveau rapport publié par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

  • Le SARS-CoV-2 continue de circuler et ne cesse d’évoluer, présentant d’importantes modifications génétiques et antigéniques au niveau de la protéine Spike.
  • Les vaccins anti-COVID-19 monovalents XBB.1.5 induisent une réponse en anticorps neutralisants avec une large protection croisée contre les variants du SARS-CoV-2 en circulation, quelle que soit la plateforme vaccinale utilisée.
  • Compte tenu de l’évolution actuelle du SARS-CoV-2 et de l’ampleur des réponses immunitaires induites par les vaccins monovalents XBB.1.5 contre les variants en circulation, le TAG-CO-VAC conseille de maintenir la composition antigénique actuelle des vaccins anti-COVID-19, c’est-à-dire de continuer à utiliser des vaccins monovalents XBB.1.5.

L’OMS a ajouté le vaccin antipaludique R21/Matrix-M à sa liste de vaccins préqualifiés (en anglais). En octobre 2023, l’OMS avait recommandé son utilisation pour la prévention du paludisme chez les enfants, suivant les recommandations du Groupe stratégique consultatif d’experts sur la vaccination (SAGE) de l’OMS et du Groupe consultatif sur la politique de lutte contre le paludisme. Cette préqualification va améliorer l’accès aux vaccins, un outil essentiel pour prévenir la maladie dans cette population : elle est en effet requise pour que l’UNICEF réalise ses achats de vaccins et pour que Gavi, l’Alliance du Vaccin, en finance le déploiement.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) publie de nouvelles lignes directrices sur l’éthique et la gouvernance des grands modèles multimodaux (ou « LMM », de l’anglais « large multi-modal models »), une technologie d’intelligence artificielle (IA) générative qui se développe rapidement et a des applications dans tout le secteur la santé.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a recommandé un nouveau vaccin, R21/Matrix-M, pour prévenir le paludisme chez l’enfant. Cette recommandation, qui fait suite aux conseils formulés par le Groupe stratégique consultatif d’experts sur la vaccination (SAGE) et par le Groupe consultatif sur la politique de lutte contre le paludisme (MPAG) de l’OMS, a été approuvée par le Directeur général à l’issue de sa réunion semestrielle ordinaire qui s’est déroulée du 25 au 29 septembre.

Alors que l’Europe et l’Asie centrale connaissent maintenant leurs mois les plus froids, les cas de COVID-19, de grippe et d’autres infections par des virus respiratoires recommencent à augmenter. L’OMS/Europe a récemment lancé une campagne saisonnière visant à protéger les populations et les systèmes de santé contre l’impact cumulatif de ces virus en circulation.

Des ministres de la Santé et des délégués des 53 États membres de la Région européenne de l’OMS ont approuvé la nouvelle Feuille de route européenne sur la résistance aux antimicrobiens qui doit aider les pays de la Région à définir, à prioriser et à mettre en œuvre des interventions à fort impact pour lutter contre la résistance aux antimicrobiens.

Après des années de baisse de la couverture vaccinale contre cette maladie, les cas de rougeole ont augmenté de 18 % en 2022 alors que les décès progressaient de 43 % au niveau mondial (par rapport à 2021). Selon les estimations du nouveau rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, cela porte le nombre de cas de rougeole à 9 millions et le nombre de décès à 136 000 (principalement chez les enfants).

Selon un nouveau rapport de l’OMS, les dizaines de milliers de tonnes de déchets médicaux supplémentaires liés à la riposte à la pandémie de COVID-19 ont mis à rude épreuve les systèmes de gestion des déchets des activités de soins partout dans le monde, menacent la santé humaine et environnementale et montrent qu’il est urgent d’améliorer les pratiques de gestion des déchets.